Une étude récente montre une corrélation entre la pollution atmosphérique et la poids des bébés à la naissance.
Ce constat est préoccupant quand on sait que ces bébés de faible poids, moins de 2,5 kilos, "présentent des risques accrus de maladies et de mortalité postnatales ainsi que des problèmes de santé chroniques plus tard dans la vie."
Sont incriminés par l’étude les gaz d’échappement des véhicules modernes, les systèmes de chauffage et les centrales à charbon. De quoi nous convaincre d’isoler, d’utiliser les transports en commun et de renouveler l’air des maisons qui, en hiver, concentre les polluants intérieurs et extérieurs.
Retrouvez ici l’article complet sur le site du Journal Le Monde et la synthèse de l’étude sur Environnemental Health Perspectives (en anglais)